Le Livre de la Prière - Voyageurs

كتاب صلاة المسافرين وقصرها

Chapitre : Il est recommandé de prier le Douha, dont le moins est de deux rak’ah, dont le meilleur est de huit, et dont la moyenne est de quatre ou six, et d’encourager à le faire régulièrement

Abou Murra a rapporté sur l’autorité d’Umm Hani que le Messager d’Allah (ﷺ) le jour de la conquête de La Mecque a observé dans sa maison huit rak’ahs de prière dans un seul tissu, ses coins opposés ayant été attachés des côtés opposés.

Abu Dharr a rapporté que l’Apôtre d’Allah (ﷺ) a dit

Le matin, la charité est due de chaque os du corps de chacun de vous. Chaque déclaration de glorification d’Allah est un acte de charité. Toute déclaration de louange à Son égard est un acte de charité, toute déclaration de profession de Son unicité est un acte de charité, toute déclaration de profession de Sa grandeur est un acte de charité, ordonner le bien est un acte de charité, interdire ce qui est déshonorant est un acte de charité, et deux rak’ahs que l’on prie le matin suffiront.

Un reportage d’Abu Huraira. Mon ami (le Saint Prophète, que la paix soit sur lui) m’a instruit de faire trois choses

trois jeûnes par mois, deux rak’ahs de la prière du matin, et l’observation de la prière du Witr avant d’aller au lit.

Un hadith comme celui-ci a été rapporté par Abu Huraira par une autre chaîne de transmetteurs.

Abu Huraira a rapporté

Mon ami Abu’l-Qasim (ﷺ) m’a demandé de faire trois choses, et le reste du hadith est le même.

Abu Murra, l’esclave affranchi d’Umm Hani, a raconté sur l’autorité d’Abu Darda'

Mon ami (ﷺ) m’a instruit en trois actes, et je ne les abandonnerai jamais tant que je vivrai. (Et ces trois choses sont) : Trois jeûnes chaque mois, la prière du matin, et ceci que je ne dormirai pas avant d’avoir observé la prière du Witr.

Chapitre : Il est recommandé de prier deux rak’ah pour la sunna de Fajr. Et l’encouragement à les prier régulièrement, à les rendre brèves, et à persister à les offrir, et à préciser ce qu’il est recommandé d’y réciter

Ibn 'Umar a rapporté que Hafsa, la Mère des croyants, l’a informé que lorsque le Mu’adhdhin est devenu silencieux après avoir appelé (les gens) à la prière de l’aube, le Messager d’Allah (ﷺ) a commencé l’aube (prière) lorsqu’elle s’est levée en observant deux courtes rak’ahs avant le début de la prière (Fard).

Ce hadith a été transmis par Nafi' avec la même chaîne de narrateurs.

Hafsa a rapporté qu’à l’aube, le Messager d’Allah (ﷺ) n’a pas observé (d’autres prières) mais deux courtes rak’ahs.

Un hadith comme celui-ci a été rapporté par Shu’ba avec la même chaîne de transmetteurs.

Hafsa a rapporté

Lorsque l’aube parut, le Messager d’Allah (ﷺ) observa deux rak’ahs (prières de la Sunna).

'A’isha rapporta

Le Messager d’Allah (ﷺ) avait l’habitude d’observer deux rak’ahs de la Sunna (prière) lorsqu’il entendait l’Adhin et les raccourcissait.

Ce hadith a été rapporté par la même chaîne de transmetteurs et dans le hadith rapporté par Oussama les mots sont

« Quand il était à l’aube ».

'A’isha a rapporté que le Messager d’Allah (ﷺ) avait l’habitude d’observer deux rak’ahs (surérogatoires) entre l’appel à la prière et l’Iqama de la prière de l’aube.

'A’isha a rapporté que le Messager d’Allah (ﷺ) a observé deux rak’ahs de la prière de l’aube et il les a raccourcies (dans la mesure) que j’ai (par surprise) dit

A-t-il récité dans ces sourates Fatiha (seulement) ?

'A’isha rapporta

À l’aube, le Messager d’Allah (ﷺ) a observé deux rak’ahs, et je disais : « Récite-t-il seulement le premier chapitre du Coran ?

'A’isha a rapporté que l’Apôtre (ﷺ) n’était pas tant exigeant sur l’observation des rak’ahs surérogatoires que dans le cas des deux rak’ahs de la prière de l’aube.

'A’isha rapporta

Je n’ai jamais vu le Messager d’Allah (ﷺ) se hâter autant dans l’observation sérorogatoire que deux rak’ahs avant le (Fard) de la prière de l’aube.

'A’isha a rapporté que le Messager d’Allah a dit

Les deux rak’ahs à l’aube sont meilleures que ce monde et ce qu’il contient.

'A’isha a rapporté que le Messager d’Allah (ﷺ) a parlé des deux rak’ahs (surérogatoires) de l’aube

Ils me sont plus chers que le monde entier.