Supplications
كتاب الدعوات
Chapitre : Chapitre 2
Salmane a rapporté que le messager de Dieu a dit : « Ton Seigneur est généreux et généreux, et il a honte de se détourner des mains vides d’un serviteur quand il les lève vers Lui. » Tirmidhi, Abu Dawud et Baihaqi, dans [Kitab] ad-Da’awat al-kabir, l’ont transmise.
'Umar a dit que lorsque le messager de Dieu a levé les mains en signe de supplication, il ne les a pas baissées avant de s’être essuyé le visage avec. Tirmidhi l’a transmise.
'A’isha a dit que le messager de Dieu aimait les supplications complètes et abandonnait les autres genres. Abou Dawud l’a transmise.
'Abdallah b. 'Amr a rapporté que le messager de Dieu a dit : « La supplication qui reçoit la réponse la plus rapide est celle faite par un ami éloigné pour un autre. » Tirmidhi et Abu Dawud l’ont transmise.
J’ai demandé au Prophète la permission d’accomplir une 'umra et il m’a donné la permission en disant : « Inclus-moi dans ta supplication, petit frère, et ne m’oublie pas. » Puis il m’a dit un mot pour lequel je ne serais pas disposé à prendre le monde en échange. Abu Dawud et Tirmidhi l’ont transmise, la version de Tirmidhi se terminant par « ne m’oublie pas ».
celui qui vient de terminer un jeûne, un imam juste, et celui qui a été lésé dont la supplication est élevée par Dieu au-dessus des nuées et pour laquelle les portes du ciel sont ouvertes. Le Seigneur dit : 'Je jure par ma force que je t’aiderai certainement, même si c’est après un certain temps'. Tirmidhi l’a transmise.
celle d’un parent, celle d’un voyageur et celle de celui qui a été lésé. Tirmidhi, Abu Dawud et Ibn Majah l’ont transmise.
Chapitre : Chapitre 3
Anas rapporta que le messager de Dieu avait dit : « Que l’un de vous demande à son Seigneur tout ce dont il a besoin, même la lanière de sa sandale lorsqu’elle est coupée. » Il a ajouté dans une version de Thabit al-Bunani sous forme de mursal, « Lui demandant même du sel, et même Lui demandant sa lanière quand elle est coupée ». Tirmidhi l’a transmise.
Anas a dit que le messager de Dieu avait l’habitude de lever les mains en signe de supplication pour que la blancheur sous ses aisselles soit visible.
Sahl b. Sa’d raconta que le Prophète avait l’habitude de placer ses deux doigts en face de ses épaules et de faire des supplications.
As-Sa’ib b. Yazid, sur l’autorité de son père, a dit que lorsque le Prophète a fait une supplication et a levé les mains, il s’est essuyé le visage avec elles. Baihaqi a transmis les trois traditions dans [Kitab] ad-Da’awat al-kabir.
'Ikrima a cité Ibn 'Abbas qui a dit : « Lorsque vous demandez quelque chose, vous devez lever vos mains en face de vos épaules ou à peu près, lorsque vous demandez pardon, vous devez pointer du doigt et lorsque vous faites une supplication fervente, vous devez étendre vos deux mains. » Dans une version, il a dit : « Il faut faire une supplication fervente ainsi », levant les mains et plaçant leur dos contre son visage. Abou Dawud l’a transmise.
Ibn 'Umar avait l’habitude de dire : « Ton élévation des mains est une innovation. Le messager de Dieu n’a rien fait de plus que cela », c’est-à-dire qu’il les a élevés contre sa poitrine. Ahmad l’a transmise.
Ubayy b. Ka’b a dit que lorsque le messager de Dieu mentionnait quelqu’un pour qui il suppliait, il commençait par lui-même. Tirmidhi l’a transmise, disant qu’il s’agit d’une tradition hasan gharib sahih.
Il lui donnera une réponse piquante, ou il la réservera pour lui dans l’autre monde, ou il se détournera de lui d’une quantité équivalente de mal. Ceux qui l’entendirent dirent qu’ils feraient alors beaucoup de supplications et il répondit que Dieu était plus prêt à répondre qu’ils n’étaient à demander. Ahmad l’a transmise.
celle de celui qui est lésé jusqu’à ce que les secours arrivent, celle d’un pèlerin jusqu’à ce qu’il rentre chez lui, celle de celui qui s’engage dans le jihad jusqu’à ce qu’il s’arrête, celle d’un malade jusqu’à ce qu’elle guérisse, et celle d’un frère absent. Puis il ajouta : « Celle qui obtient la réponse la plus rapide est celle d’un frère absent. » Baihaqi l’a transmis dans [Kitab] ad-Da’awat al-kabir.
Chapitre : Le souvenir de Dieu et le fait de s’approcher de Lui - Section 1
Abu Huraira et Abu Said ont rapporté que le messager de Dieu a dit : « Les gens ne resteront pas assis à se souvenir de Dieu sans que les anges ne les entourent, que la miséricorde ne les couvre, que la paix (1) ne descende sur eux et que Dieu ne les mentionne parmi ceux qui sont avec Lui. » 1. Ici, j’ai traduit as-sakina par « paix », mais cf. p.448, n. 2.Muslim l’a transmis.
Abu Huraira a dit que lorsque le messager de Dieu voyageait sur le chemin de la Mecque et qu’il est arrivé à une montagne appelée Jumdan, il a dit : « Allez, c’est Jumdan ; Les mufarriduna sont allés de l’avant. Lorsqu’on lui demanda ce que signifiait le mufarriduna, il répondit : « Ces hommes et ces femmes qui se souviennent souvent de Dieu. » Les musulmans l’ont transmise.
Abou Moussa a rapporté que le messager de Dieu a dit : « Celui qui se souvient de son Seigneur et celui qui ne le fait pas sont comme les vivants et les morts. » (Bukhari et Mouslim.)
Abu Huraira a rapporté que le messager de Dieu a déclaré que Dieu dit : « Je suis présent quand mon serviteur pense à moi, et je suis avec lui quand il se souvient de moi. S’il se souvient de moi intérieurement, je me souviendrai de lui intérieurement, et s’il se souvient de moi parmi les gens, je me souviendrai de lui parmi les gens qui sont meilleurs qu’eux. (Bukhari et Mouslim.)